Comment un Hébreu devient ministre de Pharaon (Genèse 37-41)

Marion
8 janv. 2016
2 min de lecture

Durant la première partie de l’année 2016, nous aborderons différentes histoires de l’Ancien Testament.

Pour cette première soirée, nous avons revu la structure de la Bible, afin que les jeunes comprennent les différences entre l’Ancien et le Nouveau Testaments et ce qu’ils contiennent dans les grandes lignes.

Puis, nous avons parlé d’une histoire déjà bien connue par les jeunes, celle de Joseph, fils de Jacob. Après une remise en mémoire grâce aux cartes (voir ci-dessous), nous avons parlé de son parcours peu conventionnel.

Si nous n’avions connaissance que de la première carte, comment verrions-nous l’avenir de Joseph, lui, le préféré de son père ? Il a foi en Dieu, il est aimé de son père, il ne dit pas de commérage… donc certainement que toute sa vie serait un long cours d’eau tranquille où tout irait bien… non ?

Et bien non, ses frères veulent le laisser mourir au fond d’une citerne. Pour finir, il est vendu comme esclave et il va en prison alors qu’il n’a commis aucune faute.

Joseph vit toute une suite d’épreuves, qui ne devaient certainement pas être facile pour lui. Il a souffert durant son parcours.

Cependant, ces éléments tout a fait négatif lui ont permis d’accéder à d’autres bien plus positifs :

Ces frères le vendent comme esclave, ce qui lui permet de rencontrer Potiphar qui lui remet tout ce qu’il a (excepté sa femme !) et toute la gestion de sa maison. Potiphar a beaucoup de respect pour Joseph et une totale confiance en lui.

Après avoir interprété les rêves des deux prisonniers, il devra attendre deux ans avant que l’échanson se rappelle de lui et le présente à Pharaon. Ce temps d’attente est long, mais il se termine par son ascension auprès de Pharaon. Il devient son ministre et dirige l’Egypte.

Et nous, dans notre vie, est-ce qu’il y a des moments où nous nous sentons comme Joseph au font de sa citerne ou dans sa prison ? Ayons foi en l’avenir, car avec l’aide de Dieu, nous pouvons surmonter nos moments difficiles.